Il n’y a pas que les militaires ou les policiers qui peuvent souffrir du trouble de stress post-traumatique (TSPT). Au Canada, on estime que trois personnes sur quatre sont susceptibles de vivre un événement traumatique au cours de leur vie et que 10 % d’entre elles développeront un TSPT. Cet état peut se manifester, entre autres, par de l’anxiété, de la dépression ou encore des comportements compulsifs ou autodestructeurs.
En cette 30e Semaine nationale de prévention du suicide, il importe de faire savoir que de l’aide et des traitements existent pour les personnes aux prises avec le TSPT. Dans l’article Guérir du trouble de stress post-traumatique du magazine Contact, Geneviève Belleville, professeur à l’École de psychologie, démystifie cette condition et expose les traitements possibles.