6 janvier 2020
Une année qui promet pour Jérôme Lapierre
Ce chargé de cours en architecture figure parmi les 20 jeunes qui feront bouger le Québec en 2020 selon Tabloïd
Jérôme Lapierre
Le 3 janvier, le média Tabloïd a publié sa liste des 20 jeunes Québécois qui «font déjà de grandes choses, mais pour qui le début de la nouvelle décennie aura un impact sur le monde». Jérôme Lapierre, chargé de cours à l’École d’architecture de l’Université Laval, est du lot.
Celui qui est architecte au sein de l’Atelier Pierre Thibault depuis une dizaine d’années s’intéresse à la conception de villes à échelle humaine. Il collabore notamment aux projets du Lab-École, un organisme qui vise à repenser les établissements d’enseignement primaire au Québec. À l’Université Laval, il donne des ateliers d’architecture aux étudiants au baccalauréat, en plus de superviser des étudiants à la maîtrise dans la rédaction de leur essai.
Diplômé de l’École d’architecture en 2013, Jérôme Lapierre est le premier francophone à avoir reçu le Prix de Rome en architecture – début de carrière du Conseil des arts du Canada. Cette distinction lui a permis d'effectuer un stage d'un an à Copenhague, au Danemark, chez Gehl Architects. La prochaine année s’annonce chargée pour lui alors qu’il s’apprête à lancer sa propre agence.
«C'est un honneur de figurer dans le palmarès de Tabloïd et de faire valoir l'importance de l'architecture de qualité dans notre quotidien, souligne Jérôme Lapierre. Cette nomination marque un jalon important à la fois dans mon parcours professionnel et dans la création de ma nouvelle agence. Je vais continuer à développer mon approche humaine face à l'architecture et à faire un trait d'union entre le volet universitaire et la pratique contemporaine.»
Relisez ces articles d’ULaval nouvelles qui portent sur les projets de Jérôme Lapierre.
Obtention du Prix de Rome en architecture – début de carrière
Publication d’un ouvrage sur la conception de villes à échelle humaine
Exposition sur la promenade Samuel-De Champlain
Son séjour à Copenhague a aussi fait l’objet d’un documentaire tourné par notre journaliste en 2013. Visionnez ce court-métrage ci-dessous:
