
Cette chercheuse postdoctorale montrera que la transformation, depuis 2015, de certains modèles narratifs s'accompagne d'ambivalences idéologiques, signe d'une volonté de diversification et de contestation de stéréotypes sexistes, mais aussi d'un attachement tenace à des conceptions traditionnelles, conservatrice, ou du moins limitatives, du féminin.
Dans cette présentation, la notion de «postféminisme» sera employée de manière critique pour analyser, entre autres, le contre-stéréotype du renversement des genres et la revalorisation «essentialisante» de la vulnérabilité psychologique féminine.
Jeudi 16 novembre, à 11 h 30, au local 4433B du pavillon Louis-Jacques-Casault. Entrée libre.