
Les jeunes ont des idées, des convictions et une soif d'agir pour la planète. Et c'est précisément ce que met en lumière le balado Pour la planète, une série conçue par le magazine Curium, en collaboration avec l'Université Laval et disponible sur YouTube, Spotify, BaladoQuebec et Amazon Music.
Pensée pour les 14 à 17 ans, cette série en 6 épisodes explore les grandes questions écologiques à travers le regard de spécialistes, tout en mettant l'accent sur des pistes de solution concrètes. Chaque épisode répond à une préoccupation bien réelle des jeunes d'aujourd'hui, et propose des clés pour mieux comprendre… et surtout, pour agir.
Dans le premier épisode, Valériane Champagne-St-Arnaud, professeure au Département de marketing, s'interroge sur la manière dont on aborde les changements climatiques dans l'espace public. En parle-t-on trop? Pas assez? Et surtout, comment en parler de façon constructive?
Maryse Côté-Hamel, spécialiste en sciences de la consommation à la Faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation, prend le relais dans le deuxième épisode pour aborder l'impact environnemental de nos choix vestimentaires.
Dans le troisième épisode, Dominic Villeneuve, professeur à l'École supérieure d'aménagement du territoire et de développement régional, explore les options de rechange durables à la voiture.
Le balado se penche aussi sur l'univers des produits cosmétiques et du plastique avec les professeurs en chimie et en génie chimique Normand Voyer et Denis Rodrigue, qui nous éclairent sur les dessous de ces industries et les moyens de les rendre plus respectueuses de l'environnement.
Un projet qui s'inscrit dans un mouvement collectif
Pour la planète s'insère dans le cadre de la campagne 1000 gestes pour la nature, une initiative visant à encourager les jeunes – ainsi que leurs proches – à poser des gestes concrets pour la protection de l'environnement.
Outre l'Université Laval, Lab22 – Laboratoire d'innovations sociales et environnementales et ENvironnement JEUnesse collaborent à l'initiative. Ce projet est financé par le gouvernement du Québec.