
Selon ce professeur à la Faculté de théologie et de sciences religieuses, l'étude de la religion chez les jeunes combine deux défis stimulants: d'une part, comprendre la mouvance des frontières du champ du religieux sous l'effet d'interprétations contemporaines très contrastées (par exemple, l'hypersécularisation et la désécularisation) et, d'autre part, interpréter les conséquences de l'idéal de rajeunissement, qui a détrôné l'intérêt pour la sagesse. Il expliquera comment le fait de s'attaquer à ces défis permet de mieux comprendre le phénomène du religieux dans la société actuelle.
Jeudi 25 janvier, à 12 h, au local 3244 du pavillon Charles-De Koninck. Entrée libre.