Elle rappellera que le Partenariat survient au moment où le Québec et le Canada, au sein de l'Unesco, cherchent les moyens de protéger et de promouvoir la diversité des expressions culturelles à l'ère du numérique. Le Partenariat, selon elle, s'inscrirait dans une dynamique inverse. L'exemption culturelle canadienne du Partenariat constituerait, au final et en particulier pour l'industrie culturelle du domaine numérique, une peau de chagrin destinée à se réduire.
Jeudi 7 avril, 11h30, à la salle 3244 du pavillon Charles-De Koninck. Information: cepci@hei.ulaval.ca. Consultez un article récent du Fil sur le sujet.