
Les accidents nucléaires, les émanations industrielles ou la contamination de l’eau, de l’air et des sols entraînent une judiciarisation de plus en plus importante des atteintes à la santé des personnes et à l’environnement. Or, le procès environnemental a ceci de particulier qu’il recèle plusieurs zones d’ombre autour des acteurs qui le font naître, y participent et en décident.
Trois professeurs de la Faculté de droit seront au nombre des conférenciers. Ce sont Marie-Ève Arbour, Aurore Benadiba et Christophe Krolik.
Pour plus d’information: bit.ly/2ceBJDT