L’entente vise à accroître les relations pédagogiques et scientifiques entre les deux universités en vue de contribuer au développement de l’enseignement supérieur et de la recherche. Elle porte sur la réalisation conjointe et coordonnée de programmes de formation et de recherche dans les domaines de la biochimie, des mathématiques, de la médecine et de l’océanographie. En biochimie, les thèmes de coopération sont la structure, la fonction et l’ingénierie des protéines. En médecine, les thèmes de coopération sont les sciences biomédicales et les neurosciences. En mathématiques, les thèmes de coopération sont les problèmes diophantiens, la théorie algébrique des nombres, la géométrie arithmétique, la transcendance et la théorie des nombres. Enfin, en océanographie, les thèmes de coopération sont la dynamique des écosystèmes marins, l’océanographie polaire, les échanges océan-atmosphère et les interactions plancton-climat.
L’accord doit faciliter les échanges, qu’il s’agisse de chercheurs, d’enseignants, de personnel technique, de personnel administratif et d’étudiants en recherche de niveau maîtrise et doctorat. L’entente prévoit aussi l’organisation de colloques, de réunions et de séminaires, ainsi que la mise en place de tout autre type de collaboration qui pourrait se révéler utile.
L’accord stipule que les droits de propriété intellectuelle relatifs aux résultats obtenus seront protégés suivant les lois et règlements en vigueur dans les pays des chercheurs impliqués. De plus, les résultats obtenus ne pourront donner lieu à une prise de brevet ou à une exploitation commerciale par une seule des deux universités, sans autorisation préalablement écrite de l’autre. Les prises de brevet éventuelles devront, dans la mesure du possible, être déposées conjointement.