
Marc-André Pépin devant le piano du studio du LARC en compagnie du professeur de la Faculté de musique Serge Lacasse.
— Louise Leblanc
Nuit dépouillée, Nuit berceuse, Nuit émouvante…Les titres des différentes variations évoquent les atmosphères ponctuant le disque. Ces pièces constituent pour l'artiste une belle occasion de renouer avec un cantique qui le suit depuis l'enfance. «Cette musique m'a très tôt fasciné et c'est l'une des premières, sinon la première pièce de musique que j'ai jouée à l'oreille au piano, précise-t-il. Depuis, à chaque Noël, je la rejoue de façon différente. Il y a quelques années, j'ai décidé de noter les versions qui me semblaient les plus intéressantes.»
L'analyste de l'informatique, qui travaille actuellement à la Direction des technologies de l'information, a fait parler de lui plus tôt cette année lorsque son quatrième album, Tempus Fugit, a été finaliste au gala de l'ADISQ dans la catégorie «Album instrumental de l'année». Pour ce disque enregistré au Laboratoire audionumérique de recherche et de création (LARC), le pianiste avait collaboré avec le professeur Serge Lacasse et l'ingénieur du son Serge Samson, tous deux de la Faculté de musique.
Lisez l'article du Fil sur l'annonce de la sélection de Marc-André Pépin au gala de l'ADISQ 2018.