
Pour clore la soirée, la chorale de Laval en spectacle, dirigée par Louis-René Rheault, a interprété trois chansons, dont La langue de chez nous d'Yves Duteil.
— Marc Robitaille
Percussions et chansons
Après la présentation de la chanson-thème de Laval en spectacle, un quintette de jazz a ouvert en douceur la soirée, mettant en vedette Carole Guérin (Faculté de médecine), Michel Cusson (Faculté des sciences et de génie), Sylvie Gauthier, Serge Sokolski et Évelyne Thiffault. S’accompagnant à la guitare, Benoît-Luc Simard (Faculté des sciences infirmières) a ensuite chanté l’une de ses compositions, avec Benoît Fortier à la basse. La très émouvante Florence Breton (Direction générale de la formation continue) a pour sa part interprété un air italien du 17e siècle, Pieta Signore ainsi que Les moulins de mon cœur. Elle était accompagnée au piano par Lise Petit. Autre artiste, autre atmosphère avec Réjean Labelle (Direction générale de la formation continue) qui a bien fait rigoler la salle avec son numéro de mentaliste. Pour clore cette première partie, le public a eu droit à une séance endiablée de percussions africaines où Nicole Bouchard (Faculté de médecine dentaire) a pu donner toute la mesure de son talent sur son tam-tam aux échos enlevants.
Après l’entracte, Luc Langevin a mystifié l’auditoire avec trois tours de magie tous plus incroyables les uns que les autres, en faisant apparaître un billet de vingt dollars dans un poivron et surgir une boule de quilles d’un calepin. Après une chanson de Steve Bilodeau et un monologue d’Isabelle Langlois, tous deux de la Direction des technologies de l’information, Cynthia Guimond (Service des ressources humaines) y est allée de quelques beaux airs avec sa compagne de duo, Johanne Lachance. Enfin, la soirée s’est terminée sur une très belle note avec la prestation de la chorale de Laval en spectacle, sous la direction de Louis-René Rheault. Les quelque 42 membres ont entre autres interprété une chanson d’Yves Duteil qu’il fait toujours plaisir à entendre, La langue de chez nous.