
Même si la physique n'est généralement pas un domaine associé à la santé publique, ses avancées sont cruciales pour cette dernière.
Grâce à cet agrément, les étudiants de Laval pourront participer aux examens professionnels requis avec l’assurance d’avoir reçu une formation de haut calibre. Qui plus est, l’Université devient, à l’échelle planétaire, un choix de premier ordre pour les meilleurs candidats de langue française désireux d’entreprendre des études de deuxième et troisième cycles en physique médicale. Cet honneur rejaillira également sur les diplômés du programme, les collaborateurs du milieu hospitalier ainsi que sur les nombreuses entreprises partenaires qui, chaque année, contribuent financièrement à la formation d’une relève de qualité. «Que l’Université Laval obtienne un tel agrément témoigne de la qualité de notre programme en physique médicale et nous positionne comme un joueur important dans le monde médical», souligne Luc Beaulieu, responsable de programme.
Le domaine de la physique médicale est en plein essor. Typiquement associé au diagnostic médical et à la radio-oncologie, un physicien médical peut, par exemple, évaluer les doses de rayonnement qu’un individu peut subir pendant un traitement de radiothérapie. Il est appelé à travailler étroitement avec différents intervenants en santé, dont les médecins et résidents radio-oncologues, technologues en radiothérapie, ingénieurs biomédicaux, etc. La formation de l’Université Laval est offerte conjointement avec le Département de radio-oncologie du Centre hospitalier universitaire de Québec (CHUQ), lieu où se trouvent les équipements spécialisés. Renseignements: physmed.fsg.ulaval.ca

























