
C'est sur ces questions et sur celle de l'évolution générale du regard porté, de l'extérieur, sur la société québécoise que se penchera Gérard Fabre, chercheur au CNRS à Paris, lors de sa conférence «Entre clarté et noirceur. La vision du clérico-nationalisme québécois chez quelques Européens de la première moitié du 20e siècle, de Siegfried à Béguin». Il s'agit d'une activité qui s'inscrit dans les Midis du Centre interuniversitaire d'études québécoises (CIEQ).
Jeudi 24 avril, à 12h, au local 5325 du pavillon Charles-De Koninck.