Lors d’ateliers itinérants, cette diplômée du Emily Carr University of Art and Design de Vancouver et de l’Université Concordia a proposé à des gens du grand public de recréer, sur une toile, leurs cicatrices physiques ou émotives, tout en les enjoignant à produire un court texte qui racontait leur histoire.
Les 1400 œuvres issues de ces réflexions sont présentées pour la première fois au public.
Jusqu’au 21 décembre, à la Galerie des arts visuels (295, boul. Charest Est).