«Nous sommes très contents du spectacle, dit l’une des organisatrices de l’événement, Florence Breton, de la Direction générale de la formation continue. Les artistes se sont donné corps et âme sur scène et le public était très réceptif. Il est par contre dommage que la communauté universitaire n’ait pas répondu à l’invitation en aussi grand nombre que nous l’aurions souhaité. Pourtant, d’importants efforts avaient été déployés pour promouvoir le spectacle. C’est donc un petit montant d’argent que Laval en spectacle versera à la Fondation Gilles Kègle, un organisme qui vient en aide aux personnes malades et démunies de la région de Québec et à qui les profits de la soirée allaient cette année.»
Du dynamisme à revendre
Animée avec brio par Jean-Paul Laforest, doyen de la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’alimentation, la soirée a débuté par un numéro de danse offert par la troupe de l’Académie de danse irlandaise, dont plusieurs membres sont des diplômés de l’Université. Josée Touchette, du Centre d’orientation et de consultation psychologique, a par la suite interprété le grand succès de Gregory Charles I think of you, avant d’enchaîner avec S’il suffisait d’aimer, chanson popularisée par Céline Dion. Par la suite, Josée Guillemette (Faculté de foresterie et de géomatique), accompagnée de Stéphanie Guillemette-Côté, a exécuté un élégant numéro de gymnastique dansée. Cette première partie s’est achevée sur la prestation enlevée de Gilles Miotto (Service de l’informatique et des télécommunications), accompagné du House Band, qui a soulevé la salle en interprétant Babe et Come sail away, deux succès du légendaire groupe Styx.
À l’entracte, l’ambiance était à la fête avec la présence d’un groupe de musique dixie dont les trompettes, trombones et tuba ont contribué à réchauffer l’atmosphère du hall du Théâtre de la cité universitaire. À la deuxième partie, Les triplettes de Babel, trio jazz composé de Nicole Daigle, Claire Kingston et Élaine René (Faculté des sciences de l’administration) ont interprété le célèbre air de Mack The Knife de Kurt Weil et Bertolt Brecht. Saber Chtourou (Faculté des sciences de l’administration) et Khali Allioui ont ensuite joué de la musique traditionnelle du Moyen-Orient. Thérèse Hamel (Faculté des sciences de l’éducation) a interprété une chanson de Barbara et une autre de Marie-Paule Belle. À la fin de la soirée, les spectateurs ont pu applaudir de nouveau la troupe de l’Académie de danse irlandaise, toujours très en forme.