Une équipe du Centre de recherche du CHU de Québec – Université Laval vient de mettre en lumière une partie du processus par lequel le virus du papillome humain (VPH) entraîne la formation de cellules cancéreuses.
Dans une étude publiée par PNAS, la professeure Amélie Fradet-Turcotte, de la Faculté de médecine, et ses collaborateurs rapportent comment un petit groupe de virus du papillome humain, dits à haut risque, modifient la structure des cellules qu’ils infectent et enclenchent la mécanique du cancer.
Le site Web du Centre de recherche du CHU de Québec – Université Laval consacre un article à ce sujet.