
«Notre étude est la première à démontrer que l'inflammation périphérique induite par un stress social chronique peut influencer directement le cerveau en altérant l'intégrité de la barrière hématoencéphalique», explique Caroline Ménard.
— Centre de recherche CERVO
«Notre étude est la première à démontrer que l'inflammation périphérique induite par un stress social chronique peut influencer directement le cerveau en altérant l'intégrité de la barrière hématoencéphalique, explique la première auteure de l'étude, Caroline Ménard, professeure à la Faculté de médecine de l'Université Laval et chercheuse au Centre de recherche CERVO. Elle confirme également le rôle central de l'inflammation dans le développement de symptômes dépressifs.»
Cette découverte pourrait avoir d'importantes répercussions cliniques, notamment la mise au point de nouveaux traitements de la dépression qui cibleraient le maintien de l'intégrité de la barrière hématoencéphalique.
Benoit Labonté, professeur à la Faculté de médecine et chercheur au Centre de recherche CERVO, fait également partie des coauteurs de l'étude.
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