Concrètement, la FAO et l'Université ont établi une liste de champs d'action dans lesquels les deux partenaires peuvent tirer profit de leurs avantages comparatifs respectifs. Elles s'associent donc, notamment, pour concevoir et fournir aux États membres de la FAO des guides techniques, des données et des outils afin de s'adapter aux changements climatiques et d'en atténuer les répercussions. Elles travailleront également ensemble, entre autres, à développer et à disséminer des produits de connaissance et des projets en agroforesterie et en tenue forestière pour combattre la désertification. «Notre université doit être au service des collectivités. Elle doit s'ouvrir sur le monde et engager tout son dynamisme, ses connaissances pour répondre aux besoins incontournables des populations vulnérables. Et quel besoin plus criant que celui d'éradiquer la faim dans le monde! Quel objectif plus essentiel que d'assurer la sécurité alimentaire pour tous!», a déclaré la rectrice Sophie D'Amours.