
Denis Brière, Nathalie LeBlanc, Linda Larouche, Richard Pleau
— Marc Robitaille
Plus de bourses, plus de livres, plus d’outils pédagogiques, plus de soutien aux athlètes, plus de projets étudiants, plus de mobilité étudiante, plus d’aide aux étudiants. Voilà l’impact réel et immédiat que génère la générosité des membres de la communauté universitaire sur les conditions d’études des étudiants, année après année.
Plus de bourses, plus de livres, plus d’outils pédagogiques, plus de soutien aux athlètes, plus de projets étudiants, plus de mobilité étudiante, plus d’aide aux étudiants.
Un tel succès mérite qu’on survole son histoire. C’est en 2004, alors que débutaient les volets annuels de la campagne de financement De toutes les révolutions, qu’on a confié à la vice-présidente, développement philanthropique de la Fondation de l’Université Laval, Nathalie LeBlanc, le mandat de recueillir 10 M$ auprès des membres de la communauté universitaire. C’était alors un défi de taille, mais qui soulevait beaucoup d’enthousiasme. Il fallait être novateur dans l’approche. C’est donc par la sollicitation annuelle que Nathalie LeBlanc a décidé de relever ce défi, avec en tête deux préoccupations majeures: celle de garantir la confidentialité des dons et celle d’offrir le choix aux donateurs quant à la désignation de leur don.
Ce pari s’est avéré le bon. Sur cinq ans, les dons ont crû de 76 % chez le personnel et les retraités, ce qui représente une augmentation réelle de 240 000 $. Grâce à ces bons résultats, c’est plus de 12 M$ qui ont été recueillis auprès de la communauté universitaire à ce jour, et ce, sans compter le 1,2 M$ que représentent les dons en biens. Il est par ailleurs important de noter l’engagement des étudiants au succès de ces volets de campagne, car leur participation représente un peu plus de 50 % des résultats des cinq dernières années.
Le recteur Denis Brière s’est montré fier de sa communauté, reconnaissant la générosité des donateurs, l’engagement des bénévoles et la participation des étudiants aux succès renouvelés, et heureux de constater que, depuis cinq ans, une culture philanthropique durable s’est développée sur le campus. Tout ça porte à croire, selon lui, que l’histoire de ces cinq dernières années continuera de s’écrire sur de nombreuses années encore.