Le professeur De Koninck et ses collaborateurs Daniel Côté et Réal Vallée, du Centre d'optique, photonique et laser de l'Université Laval, et Antoine Adamantidis, de l'Institut universitaire en santé mentale Douglas, feront appel à l'optogénétique. Cette technologie mise sur la lumière pour observer et contrôler les cellules nerveuses. Elle permet de tester l'action de différentes molécules sur le cerveau, facilitant ainsi la découverte de nouveaux médicaments analgésiques et psychotropes. Les chercheurs espèrent mettre au point un outil qui permettra même de sonder les régions difficilement accessibles du cerveau et de la moelle épinière.
La subvention provient du Fonds d'innovation Pfizer – Fonds de recherche du Québec – Santé.