«Je me suis toujours posé des questions sur l’Ancien et le Nouveau Testament», affirme Marie-Marthe Roberge quand on lui demande la raison pour laquelle elle a choisi la théologie. J’ai pensé qu’en étudiant dans ce domaine, je pourrais en savoir plus là-dessus, entre autres.» De ses études universitaires, Marie-Marthe Roberge garde un excellent souvenir, même si elle avoue avoir trouvé les débuts difficiles. Qu’à cela ne tienne, elle a maintenu une bonne moyenne tout au long de son parcours. «Lors de la première session, j’avais l’impression de flotter tant j’étais heureuse, affirme-t-elle. J’aime beaucoup la théologie et si j’avais seulement dix ans de moins, je serais sûrement agent de pastorale dans une paroisse.» Mais, pour l’heure, Marie-Marthe Roberge compte bien prendre la vie du bon côté et continuer à faire du bénévolat. Sans compter que certains cours offerts par l’Université du 3e âge la tentent particulièrement. «Je veux continuer d’apprendre», conclut-elle.