
Le comité de direction de l’AELIÉS. À l’avant : Kevin Villeneuve-Tremblay (vice président aux affaires internes), Ariane Keck (vice-présidente aux études et à la recherche) et Marion Valle (secrétaire générale). À l’arrière : Pierre Parent Sirois (président), Guillaume Plante (vice-président aux affaires externes), Baptiste Colas (vice- président aux affaires financières et au développement) et Faustin Mbuya Muyembe (vice-président aux droits étudiants).
— Valérie Denuzière, AELIÉS
«Les mémoires de l’AELIÉS, qui sont souvent reconnus, nous démarquent», soutient le président Pierre Parent Sirois.
Ces avis toucheront aux ressources en santé mentale du campus, à l’encadrement de la recherche, à l’employabilité des doctorants et, enfin, à la gratuité scolaire balisée.
«Nous avons découvert que peu d’études se sont penchées sur la problématique des ressources en santé mentale sur un campus universitaire, explique le président. Par ailleurs, nous nous intéresserons aux pratiques d’encadrement universitaire et à la relation entre l’étudiant et son directeur de recherche. Un autre avis explorera la perception des employeurs à l’endroit des diplômés au doctorat. Enfin, nous regarderons comment la gratuité scolaire balisée est appliquée, notamment en Scandinavie.»
Un autre grand dossier de l’AELIÉS cette année sera la possibilité de tenir un référendum sur une éventuelle affiliation de l’Association à l’Union étudiante du Québec.
Enfin, l’AELIÉS continuera à promouvoir le projet de laissez-passer universitaire d’autobus (LPU). Depuis plus de 10 ans, l’Association, de concert avec la CADEUL, mène ce dossier auprès du Réseau de transport de la Capitale, de la Société de transport de Lévis et de l’Université Laval. En août, les deux associations étudiantes ont déposé un mémoire commun dans le cadre des consultations publiques sur le Plan de mobilité durable de la Ville de Québec. «Nous nous servirons de l’enjeu de la mobilité durable, qui comprend le transport durable et l’aménagement, pour intervenir dans la campagne électorale municipale», souligne Pierre Parent Sirois.