
Le comité de direction de la CADEUL. À l’avant: Annie-Jade Samson (vice-présidente aux affaires externes), Sabrina Martin (vice-présidente aux affaires socioculturelles), Vanessa Desrosiers (vice-présidente aux finances et au développement) et Simon Hénault (vice-président aux affaires institutionnelles). À l’arrière: Quentin de Dorlodot (vice-président aux affaires internes), Samuel Rouette-Fiset (président) et Ève Gaucher (vice-présidente à l’enseignement et à la recherche).
— CADEUL
«Nous aurons un automne particulièrement chargé en raison des élections municipales, explique le président de la CADEUL, Samuel Rouette-Fiset. La plate-forme électorale que nous avons élaborée comprend plusieurs enjeux, notamment le logement étudiant abordable. Les deux tiers de nos membres résident dans le secteur Sainte-Foy – Sillery – Cap Rouge. Or, nous constatons que se loger coûte assez cher autour de l’Université.»
Durant la campagne électorale, la CADEUL entend se positionner comme un interlocuteur incontournable sur le plan des enjeux jeunesse au sein de la ville. Pour cela, elle souhaite travailler en concertation avec les associations étudiantes et les regroupements jeunesse de la région de Québec. La Confédération entend aussi organiser une campagne visant à sensibiliser les membres à l’importance de voter.
La CADEUL poursuivra ses efforts visant à établir des liens solides avec ses membres. Parmi les actions envisagées, notons la mise sur pied d’une campagne pour favoriser le sentiment d’appartenance à la CADEUL. On travaillera aussi à accroître la présence de celle-ci sur les médias sociaux.
La Confédération se penchera sur l’amélioration de la condition des parents étudiants de premier cycle à l’Université. Ces étudiants doivent concilier les études et la vie familiale, parfois même le travail. On répertoriera les problèmes et on rédigera un avis que l’on présentera à l’administration universitaire. «On parle surtout de mesures d’accommodement, indique Samuel Rouette-Fiset. Par exemple, on pourrait leur accorder le statut d’étudiant à temps complet même s’ils ne font que 9 crédits par session plutôt que 12.»