26 août 2024
Pascale Marcotte reçoit le prix Gisèle-Lamoureux
Le Fonds de recherche du Québec – Nature et technologies lui décerne cet honneur pour une publication sur l’île d’Anticosti
Le scientifique en chef du Québec, Rémi Quirion, a dévoilé le 4 juillet dernier les noms des personnes lauréates du prix Publication en français, parmi lesquelles figure Pascale Marcotte, professeure à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique.
Elle remporte le prix Gisèle-Lamoureux de juillet 2024 du Fonds de recherche du Québec, secteur Nature et technologies, pour sa publication intitulée «Tourisme et désignation du patrimoine mondial de l'UNESCO: outiller, promouvoir et prendre soin — réflexions pour Anticosti». Son article a été publié dans Le Naturaliste canadien et compte Katie Gagnon, consultante et coordonnatrice à la concertation pour la candidature d'Anticosti au patrimoine mondial de l'UNESCO, comme coautrice.
Professeure au Département de géographie de l'Université Laval et directrice du Certificat en tourisme durable, Pascale Marcotte s'intéresse à la mise en valeur des sites touristiques et culturels, à leur protection, notamment à travers les labels de territoire, ainsi qu'au comportement et aux attentes des visiteurs qui les fréquentent. Détentrice d'un doctorat en sociologie et d'un postdoctorat portant sur le comportement du consommateur, elle a l'habitude de travailler dans une perspective interdisciplinaire et collaborative.
Ses recherches sont largement réalisées en partenariat avec les acteurs du milieu touristique, tant au Québec qu'à l'étranger. Elle participe à plusieurs réseaux, dont la Chaire UNESCO-UNITWIN tourisme-culture-développement durable. Investie dans la création et le transfert de connaissance auprès de différents publics, elle contribue aussi fréquemment à des publications dans le domaine de la recherche en tourisme.
Le prix Gisèle-Lamoureux
Ce prix a pour objectifs de promouvoir et de faire rayonner les publications de recherche en français au Québec et auprès de la francophonie, d'encourager le libre accès aux publications de recherche en français et de reconnaître la pertinence sociale et les retombées de la recherche québécoise.
