
Randy Bonin, vice-président aux affaires internes, Maude Cloutier, vice-présidente à l’enseignement et à la recherche, Anthony Fournier, vice-président aux affaires socioculturelles, Thierry Bouchard-Vincent, président, Rodolphe Giorgis, vice-président aux affaires externes, et Maxime Morin, vice-président aux finances et au développement.
— Marc-André Gallien
«La CADEUL a présenté cette proposition il y a quelques années et elle veut la remettre de l’avant cette année», explique Thierry Bouchard-Vincent, président de la CADEUL et étudiant au baccalauréat en droit. En 2014, la CADEUL a fait plusieurs démarches auprès du gouvernement et des autres associations étudiantes au Québec. «Dans ce dossier, poursuit-il, nous prévoyons, entre autres, réaliser une étude sur les répercussions socioéconomiques de l’implantation du FSSEP.»
La CADEUL représente près de 90 associations étudiantes et plus de 30 000 étudiants de premier cycle.
Le Plan directeur 2015-2016 de la CADEUL contient pas moins de dix dossiers dans la catégorie «Affaires pédagogiques et universitaires». L’un d’eux porte sur la formation à distance, un secteur qui a connu un développement rapide au cours des dernières années. Dans son mandat précédent, la CADEUL a réalisé une recherche sur les problèmes auxquels les étudiants peuvent faire face en suivant leurs cours à distance. «En formation à distance, l’étudiant n’a pas accès à de nombreux services offerts sur le campus, indique Thierry Bouchard-Vincent. Il ne faut pas non plus oublier les aspects en marge des crédits universitaires, mais qui font partie de la formation. Ce sont notamment des activités complémentaires comme les colloques, les concours et les soirées de réseautage avec des professionnels.» La CADEUL rédigera un avis qui proposera des solutions aux problèmes mis en lumière par ses travaux précédents. L’avis sera présenté au Bureau de la formation à distance.
Un autre avis portera sur les baccalauréats intégrés. Dans ce dossier, la CADEUL entend participer aux travaux de la Commission des études sur l’interdisciplinarité. «Depuis quelques années, le nombre de programmes intégrés a augmenté rapidement au premier cycle, rappelle le président de la CADEUL. Des consultations auprès d’étudiants et d’associations étudiantes ont mis en lumière certains problèmes. Ce sont notamment des difficultés d’intégration des savoirs et un sentiment d’appartenance négligeable.»