5 septembre 2007
Focus sur l'Europe
Six étudiants de Laval ont joué les eurodéputés à Paris
Par : Renée Larochelle
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Du 26 août au 1er septembre, six étudiants de l’Université Laval ont participé à Paris à la plus grande simulation internationale francophone du Parlement européen, la SPECQUE. Il s’agit d’Érick Sullivan, Édouard Nasri, Ariane Gagnon, Mélissa Guitard, Ereda Jerasi et Marie-Ève Pelletier. Avec une centaine d’autres étudiants universitaires du Canada et de l’Europe, ces apprentis eurodéputés ont débattu de nombreux enjeux d’actualité importants pour l’Union européenne et l’ensemble de ses concitoyens. Parmi les sujets à l’ordre du jour figuraient les conditions d’entrée et de séjour de ressortissants de pays tiers immigrant, la mobilité des patients et la mise en œuvre du principe de l’égalité de traitement entre les femmes et les hommes dans l’accès et la fourniture des biens et services. La délégation de l’Université comptait aussi en ses rangs trois «journalistes», dont la mission consistait à couvrir l’événement. Ces étudiants sont Renaud Gignac, Pascal Michaud et Jean-François Poudrier.
Dans le cadre d’un processus parlementaire calquant celui du véritable Parlement européen, les participants de la SPECQUE devaient arriver à des accords afin de concilier non seulement leurs opinions individuelles, mais aussi celles des groupes politiques et des pays de l’UE qu’ils représentaient. Les participants ont ainsi pu plonger dans la réalité des eurodéputés et s’ouvrir à d’autres perspectives et manières d’envisager l’avenir de l’Europe.
Cette année, près de dix nouvelles universités canadiennes et européennes, dont la Simon Fraser University de Colombie-Britannique, la Acadia University de Nouvelle-Écosse, l’Université de Maastricht aux Pays-Bas et l’Université de Pesc en Hongrie, ont participé à la dixième édition de la simulation, pour un total de 22 nationalités et 27 universités représentées.
Fondée il y a dix ans par des étudiants de l’Université Laval, la SPECQUE a le soutien d’importants personnages politiques français, canadiens et internationaux, dont Hans Gert Poettering, président du Parlement européen, Abdou Diouf, secrétaire général de l’Organisation internationale de la francophonie et Bertrand Delanoë, maire de Paris. En 2008, la onzième édition de la SPECQUE se tiendra à l’Assemblée nationale de Québec, en l’honneur du 400e anniversaire de la capitale québécoise.
Dans le cadre d’un processus parlementaire calquant celui du véritable Parlement européen, les participants de la SPECQUE devaient arriver à des accords afin de concilier non seulement leurs opinions individuelles, mais aussi celles des groupes politiques et des pays de l’UE qu’ils représentaient. Les participants ont ainsi pu plonger dans la réalité des eurodéputés et s’ouvrir à d’autres perspectives et manières d’envisager l’avenir de l’Europe.
Cette année, près de dix nouvelles universités canadiennes et européennes, dont la Simon Fraser University de Colombie-Britannique, la Acadia University de Nouvelle-Écosse, l’Université de Maastricht aux Pays-Bas et l’Université de Pesc en Hongrie, ont participé à la dixième édition de la simulation, pour un total de 22 nationalités et 27 universités représentées.
Fondée il y a dix ans par des étudiants de l’Université Laval, la SPECQUE a le soutien d’importants personnages politiques français, canadiens et internationaux, dont Hans Gert Poettering, président du Parlement européen, Abdou Diouf, secrétaire général de l’Organisation internationale de la francophonie et Bertrand Delanoë, maire de Paris. En 2008, la onzième édition de la SPECQUE se tiendra à l’Assemblée nationale de Québec, en l’honneur du 400e anniversaire de la capitale québécoise.
