26 janvier 1995 |
POUR UN BUDGET 1995-1996 �QUILIBR�
Plan d'action du Comit� ex�cutif
Objectif: r�duire de moiti� le
d�ficit pr�vu au budget 1994-1995.
M�me si l'une des d�cisions prises par le Conseil d'administration du 18 janvier � propos du cadre de financement 1995-1998 concerne les orientations budg�taires 1995-1996, avec pour objectif premier que ce budget de fonctionnement 1995-1996 �permette � l'Universit� de demeurer sans d�ficit accumul� au 31 mai 1996�, il n'en reste pas moins que c'est d�s � pr�sent � la r�duction du d�ficit pr�vu pour l'ann�e financi�re en cours qu'il importe de s'attaquer.
Le Comit� ex�cutif a donc �t�charg� d'adopter un plan d'action imm�diat dans le but de r�duire de moiti� le d�ficit de trois millions de dollars qui a �t� projet�, le 30 novembre 1994, pour l'ann�e financi�re 1994- 1995.
En cons�quence, le Comit� a recommand� un plan d'action, assorti de diverses mesures d'�conomies, � l'effet de ramener � un million et demi de dollars le niveau de d�penses pr�vues dans les projections budg�taires du 31 octobre dernier.
Les diff�rents points affect�s par ces mesures sont les suivants :
- Augmentation des soldes projet�s au 31 mai 1995�� l'annexe �A� de 300 000 $ et de ceux aux ressources mat�rielles de 200 000 $. Des objectifs pr�cis seront fix�s � ces fins � chaque unit�;
- Implantation de la nouvelle politique sur la r�cup�ration des co�ts indirects sur les contrats de recherche, qui devrait permettre de d�gager un montant de l'ordre de 250 000 $;
- Campagne de sensibilisation et d'information sur les co�ts du chauffage et de l'�lectricit�, dont on escompte des �conomies approximatives de 100 000 $;
- R�duction de l'horaire d'un service sp�cialis� � la Biblioth�que avec un effet minimal sur la client�le;
- Economies additionnelles sur les masses salariales et sur les diverses r�serves budg�taires, qui devraient se chiffrer aux alentours de
600 000 $;
- Diminution des co�ts institutionnels de l'enseignement du 1er cycle et de sa gestion en r�duisant la liste des cours � option et en r�duisant le nombre de ceux mis � l'horaire.
Bien que les effets de cette mesure ne se feront sentir concr�tement que lors du prochain exercice, il est essentiel, d�s maintenant d'envisager et d'�tablir les dispositions propres � la r�alisation de cet objectif.
Il va de soi que la plus enti�re et la plus continue des collaborations de toutes les personnes et de toutes les unit�s est indispensable � la r�ussite de ce plan d'action.
MICHEL CHAUVEAU