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27 avril 1995  |
D�partement de management
RECUEIL �TUDIANT SUR L'ORGANISATION
Plus de 3 000 heures de travail, plus de 1 500 titres r�pertori�s, plus de 150 r�sum�s de textes scientifiques, pr�s de 780 pages r�unies par 32 �tudiants et �tudiantes sur des auteurs classiques comme Taylor, Crozier, Mintzberg et d'autres moins connus comme Dejours, De Terssac, Schwartz.
L'ambiance �tait � la f�te, hier, en fin d'apr�s-midi, � la Facult� des sciences de l'administration. On c�l�brait en effet le lancement du recueil Investigations bibliographiques r�alis�, � l'automne 1994, par des �tudiants et des �tudiantes de 2e cycle du D�partement de management, inscrits au cours �Th�ories de l'organisation�.
�Il n'est donc pas trop fort de consid�rer un tel document comme une mine d'information unique en son genre et s�rement tr�s utile pour les �tudiants, les chercheurs, les professeurs et toute autre personne qui s'int�resse aux th�ories de l'organisation�, souligne le professeur Jean Pierre Brun, qui assurait le cours au trimestre d'automne.
L'ouvrage collectif comprend 32 chapitres d'une longueur variant de 20 � 30 pages chacun. Chaque chapitre, consacr� � un auteur et r�dig� par un �tudiant ou une �tudiante, comporte: un fichier biographique pr�sentant les principales informations sur la vie de l'auteur; une biographie contenant la production de l'auteur, mais aussi les principaux ouvrages le concernant; deux ou trois r�sum�s sur des livres et des articles de l'auteur; deux ou trois r�sum�s sur des articles critiquant ses �crits; un glossaire de ses principaux concepts; un commentaire personnel de l'�tudiant sur son oeuvre.
Une aventure particuli�re
Ce projet de classe a �t� une �aventure particuli�re� sous plusieurs aspects, tant pour le professeur que pour ses �tudiants et ses �tudiantes. �D'abord, personne n'avait imagin� le travail qu'un tel projet repr�sentait. Chaque �tudiant a certainement mis plus d'une centaine d'heures de travail pour r�aliser son investigation bibliographique�, raconte Jean Pierre Brun.
Dans bien des cas, les investigateurs et les investigatrices ont m�me d� entrer en contact avec des auteurs pour obtenir des informations sur leurs derni�res productions. Il a aussi fallu interroger une quantit� impressionnante de banques de donn�es, de revues et de catalogues de toutes sortes.
GABRIEL C�T�
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