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La Commission d'examen des processus de gestion
dépose son second rapport intérimaire
Établir une procédure de reddition de comptes
dans les facultés et départements, les services
et les hautes instances décisionnelles, réfléchir
sur une façon d'aborder la gestion qui soit moins encadrée
par l'application des clauses de conventions collectives, et
instaurer un changement dans les mentalités afin de passer
d'une culture de contrôle à une culture de service
et d'appui, voilà quelques-unes des pistes de réflexion
contenues dans le second rapport d'étape de la Commission
d'examen des processus de gestion à l'Université
Laval. Ce document a été reçu le 17 mai
par les membres du Conseil d'administration. Le rapport final
sera remis en septembre prochain.
Depuis le dépôt du premier rapport d'étape
en février, la Commission a tenu huit réunions,
rencontré une douzaine de personnes ou organismes, dont
la direction du vice-rectorat aux ressources humaines, les associations
étudiantes AELIÉS et CADEUL, et le Syndicat des
employés de soutien. Trois experts externes ont été
consultés et deux mémoires, dont celui de la Commission
des études, ont été reçus. À
partir de la dizaine de mémoires reçus cet hiver
et ce printemps, à partir également des réponses
fournies cet hiver par une cinquantaine de gestionnaires de l'Université
dans le cadre d'un questionnaire-diagnostic, les membres de la
Commission ont identifié un thème principal intégrateur
et trois axes. Ce thème se formule ainsi: Pour une vision
stratégique du développement de la mission d'enseignement
et de recherche. Les trois axes sont: le développement
stratégique, une gestion des ressources humaines tournées
vers l'avenir, et l'examen des instances décisionnelles.
La Commission a pour mandat de proposer des améliorations
à apporter aux processus de gestion et de gouvernance
dans l'ensemble des unités administratives et des domaines
d'activité de la cité universitaire.
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