 
Campus express
Un nouveau partenariat pour la formation des médecins
La coopérative Zone Université Laval et le Centre
de développement professionnel continu (CDPC) de la Faculté
de médecine ont procédé au tirage d'un Palm
Pilot et de ses accessoires le mercredi 11 janvier. La remise
de ce prix d'une valeur de 600 $ marque une nouvelle collaboration
entre les deux entités. Ce partenariat annuel vise à
appuyer et à valoriser la formation des médecins
québécois qui désirent parfaire leurs connaissances
en participant à différents événements
organisés par la Faculté. Le tirage s'est effectué
à la librairie du pavillon Maurice-Pollack où Dominique
Biron s'est vu remettre son prix par Jacqueline Théberge,
directrice à la commercialisation, Zone Université
Laval, Stéphane Dubois, responsable des ventes corporatives,
Zone Université Laval, et Patrice Lemay, conseiller en
formation (CDPC). Rappelons que la Coopérative de l'Université
Laval, fondée en 1986 par des étudiants de l'Université,
répond aux besoins de la clientèle du campus par
le développement et la distribution des outils du savoir.
Elle s'engage auprès de sa communauté par des actions
coopératives favorisant le développement et le
dynamisme des activités universitaires et du mouvement
coopératif. L'entreprise atteint aujourd'hui un chiffre
d'affaires de près de 26 millions de dollars, compte 110
employés réguliers et plus de 242 employés
à temps partiel, majoritairement des étudiants.
Zone Université Laval est d'ailleurs la plus importante
librairie scientifique francophone en Amérique du Nord.
Écrire l'histoire du Canada et du Québec
La Chaire de recherche du Canada en histoire et économie
politique du Québec contemporain tiendra un débat
sur l'écriture de l'histoire du Canada et du Québec,
le vendredi 27 janvier à compter de 13 h, au local 5172
du pavillon Charles-De Koninck. Les trois participants seront
Jocelyn Létourneau, professeur au Département d'histoire,
titulaire de la Chaire et auteur de Le Québec, les
Québécois, un parcours historique, H.V. Nelles,
professeur d'histoire du Canada à l'Université
McMaster, auteur d'Une brève histoire du Canada
et l'un des historiens parmi les plus réputés du
Canada anglais, et Harold Bérubé, doctorant à
l'INRS-urbanisation, culture et société, à
Montréal. L'entrée est libre.
Laval remporte les Jeux nationaux MBA
Les étudiants de la Faculté des sciences de
l'administration (FSA) ont fait honneur à leur université
lors d'importantes compétitions universitaires qui ont
eu lieu récemment. À Windsor, en Ontario, une équipe
composée d'une quarantaine d'étudiants de deuxième
cycle a en effet remporté les honneurs pour une deuxième
année consécutive lors des Jeux nationaux MBA auxquels
prenaient part plus de 600 étudiants de niveau maîtrise
en administration des affaires provenant de 15 universités
canadiennes. Cette compétition mettait à l'épreuve
les participants dans trois champs particuliers: les compétitions
intellectuelles, les compétitions sportives et les activités
sociales. Rappelons que les étudiants de premier cycle
de la FSA ont également remporté la deuxième
place aux Jeux du Commerce 2006, et que Laval s'est classée
en sixième place au prestigieux Concours international
d'étude de cas MBA John Molson qui a eu lieu à
Montréal.
Tout sur la syntaxe spatiale
François Dufaux, chargé d'enseignement à
l'École d'architecture, viendra donner la conférence
"L'analyse de la syntaxe spatiale en architecture et urbanisme"
aujourd'hui 19 janvier, à 12 h, au local 3244 du pavillon
Charles-De Koninck. L'analyse de la syntaxe spatiale offre un
nouveau point de vue, sensible aux préoccupations des
architectes et de ceux qui oeuvrent en sciences humaines, pour
discuter des implications de l'aménagement. La configuration
des lieux, leur relative accessibilité ou le contrôle
des accès devient une traduction spatiale des relations
sociales. Cette approche, élaborée initialement
à l'University College London, est appliquée dans
différents contextes culturels et économiques,
à différents programmes et échelles de bâtiment.
Dans le cadre du projet sur l'Atlas historique des écoles
au Québec, la configuration de l'architecture scolaire
suscite plusieurs questions sur le plan historique, sur le plan
des programmes scolaires, sur la traduction des valeurs confessionnelles
ainsi que sur l'école des filles comparativement à
celle des garçons. Cette analyse structurelle peut révéler
le non-dit dans une architecture institutionnelle volontairement
rhétorique dans ses apparences.
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