
La Commission d'aménagement dépose
son rapport final
Presque deux ans après sa création, en avril
2003 par le Conseil d'administration, la Commission d'aménagement
de l'Université Laval (CAMUL) vient de remettre son rapport
final. Le document a été déposé lors
de la séance ordinaire du Conseil d'administration du
16 février par Claude Dubé, président de
la CAMUL et doyen de la Faculté d'aménagement,
d'architecture et des arts visuels. Intitulé Plan directeur
d'aménagement et de développement du campus
de l'Université Laval, le rapport propose cinq chantiers
et fait 107 recommandations. Selon Claude Dubé, le plan
d'aménagement suggéré définit un
cadre général et se veut un outil évolutif.
Dans sa prochaine édition, le journal Au fil des événements
publiera un article détaillé sur le contenu du
rapport final de la CAMUL. Et des séances d'information
à la communauté universitaire se tiendront les
22, 23 et 24 mars au Cercle du pavillon Alphonse-Desjardins,
de midi à 13 h 30.
Rappelons que la Commission compte dix membres, notamment le
recteur Michel Pigeon et la vice-rectrice au développement
et aux relations internationales, Diane Lachapelle. La vice-présidente
de la Commission est Nathalie Prud'Homme, directrice de la gestion
du territoire de l'arrondissement de La Cité à
la Ville de Québec. Le mandat de la CAMUL consistait à
proposer un plan directeur après avoir effectué
une large consultation publique. La Commission a reçu
45 mémoires et organisé quatre conférences
traitant de l'avenir des campus nord-américains. En parallèle,
elle a effectué un important travail de recherche et d'analyse
de données. Ses membres se sont réunis en une quinzaine
d'occasions. Ils ont également participé à
de nombreuses séances de travail avec différents
spécialistes. Le plan directeur proposé devait
tenir compte de plusieurs objectifs, entre autres, offrir un
milieu de vie complet pour les membres de la communauté
universitaire, garder l'identité universitaire des installations
physiques actuelles dans le contexte d'une plus grande perméabilité
au milieu urbain, et prévoir la flexibilité nécessaire
à la poursuite de l'évolution du Plan directeur
dans les années futures.

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