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12 décembre 2002 ![]() |
Les membres de l'Orchestre d'harmonie de la Faculté de musique et leur chef, René Joly, présenteront leur concert de fin de session le vendredi 13 décembre et le samedi 14 décembre à 20 h, à la salle Henri-Gagnon. Admission générale: 5 $. On peut se procurer des billets au secrétariat de la Faculté de musique, pavillon Louis-Jacques-Casault, bureau 3312, pendant les heures normales d'ouverture. Ils seront également en vente à la porte de la salle Henri-Gagnon à chacune des représentations du concert. Au programme de cette soirée, les musiciennes et musiciens offriront un répertoire varié qui saura plaire à un large public: Roméo et Juliette de Prokofiev; Slava de Bernstein; Fantasy Tales de Piet Swierts; Firestorm de Stephen Bulla; Danse et cortège des bouffons (Blanche-Neige) de Rimski-Korsakov. Jusqu'à présent, l'Orchestre d'harmonie a su émouvoir son public grâce à sa musicalité, sa sensibilité, son énergie et son répertoire musical riche et varié. L'ensemble regroupe en moyenne une cinquantaine de musiciens sous l'habile direction de René Joly.
Dans un vaste effort de limpidité, des musicologues de la Faculté de musique, Paul Cadrin, Serge Lacasse, Jean-Pierre Pinson et Marc-André Roberge, ont pris le parti de faire sortir la musicologie de son placard et de l'exposer en public! Cette conférence animation sera présentée le jeudi 12 décembre à 16 h, à la salle Henri-Gagnon du pavillon Louis-Jacques-Casault. L'entrée est libre. Plusieurs questions de fond seront soulevées au cours de cette séance de clarification et de débats, entre autres: À quoi sert la musicologie? Qu'est-ce qu'un musicologue? Les mystères de la recherche. Un certain nombre de questions fondamentales seront également envisagées, comme: Pourquoi les musicologues n'aiment-ils pas donner de bonnes notes à tous les étudiants? Le musicologue peut penser sans jouer, mais le musicien peut-il jouer sans penser? Pourquoi le musicologue aime-t-il l'effort? Le musicologue a-t-il un ego? Pourquoi le musicologue préfère-t-il la mondialisation aux mondanités?
La compagnie Clio dell'Arte présentera, du 6 au 17 janvier, l'exposition Londres et la lumière: l'étrange monde du Dr Jekyll à la salle d'exposition de la Bibliothèque (pavillon Jean-Charles-Bonenfant). En prenant pour point de départ le roman de Robert Louis Stevenson, The strange case of Dr Jekyll and Mr Hyde (1886), Clio dell'Arte souhaite mieux faire connaître l'époque victorienne (1850-1900) au grand public, à travers, notamment, des gravures et photographies d'époque, des reproductions de costumes et des objets évoquant cette période. Cette exposition présente, entre autres, la vie quotidienne à Londres sous le règne de Victoria, Stevenson et son uvre, le docteur Jekyll, la science et la médecine. L'exposition Londres et la lumière s'inscrit dans le cadre de la présentation d'une pièce de théâtre, L'étrange mal du Dr Jekyll. Cette oeuvre inédite, coécrite par les trois fondatrices de Clio dell'Arte, sera présentée les 14, 15 et 16 février à l'Amphithéâtre Hydro-Québec du pavillon Alphonse-Desjardins. Renseignements: CliodellArte@yahoo.ca.
L'exposition Le jour, nous et la nuit se poursuit jusqu'au 20 décembre à la salle d'exposition du pavillon Alphonse-Desjardins. Cette exposition, en trois temps, présente les oeuvres de deux jeunes diplômées en arts plastiques, Amélie Belzile et Valérie Beaulieu. À voir, une vingtaine d'oeuvres picturales d'Amélie Belzile où le jour et la nuit exposent leurs couleurs, leurs différences et leurs appartenances aux symboles. Le jour se révèle, s'imprime, dans un premier geste sur fond blanc. Un geste instinctif qui ouvre sur un univers subjectif. La nuit, elle, se présente avec toute sa matière, accumulation de couleur dans un espace sans fond. Valérie Beaulieu propose une douzaine de sculptures qui habitent cet espace de contrastes. Côté jour, les formes organiques issues du recyclage industriel se transforment et prennent vie dans des reflets cuivrés. Côté nuit, les assemblages de bois éclaté oscillent entre la déconstruction de la matière et la perception du geste de création. Jonction entre le jour et la nuit, la peinture et la sculpture se partagent l'espace de cet univers de couleurs et de matière. Alliant la symbolique et l'organique, ce duo d'artistes a créé un concept d'exposition où le jour et la nuit se définissent par leurs contrastes et leurs limites. La salle d'exposition du pavillon Alphonse Desjardins est ouverte du lundi au vendredi, de 9 h à 17 h. Le vernissage aura lieu le vendredi 13 décembre à 17 h.
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