7 mars 2002 |
L'Atelier d'opéra de la Faculté de musique présente Serse, de Georg Friedrich Haendel, les 15 et 16 mars, à 20 h, ainsi que le 17 mars, à 14 h, au Théâtre de la Cité universitaire, pavillon Palasis-Prince. L'histoire de Serse est semblable à beaucoup d'autres histoires de la littérature romantique: Amastre aime Serse qui aime Romilda qui aime Arsamene... Accompagnés par l'Orchestre de la Faculté de musique, sous la direction de Jean-Marie Zeitouni, les étudiants membres de l'Atelier d'opéra sont impatients de présenter au grand public le travail de toute une année. Ces élèves chanteurs ont été préparés par leurs professeurs Michel Ducharme, Hélène Fortin et Marie-Danielle Parent. "Tout le charme et toute la difficulté de cet opéra consistent, pour le metteur en scène, à rendre accessible et crédible cette histoire rocambolesque! Mais quelle belle histoire! Nous nous sommes amusés à fouiller le caractère de chacun des personnages, à les coller à la réalité d'aujourd'hui. L'amour n'a pas changé depuis toutes ces années! Et cette musique! Un ravissement!..." de dire le metteur en scène et comédien bien connu Jacques Leblanc. Un rendez-vous que les amateurs d'opéra ne voudront pas manquer! Admission: 12 $, étudiant: 10 $. On peut se procurer des billets dès maintenant au bureau d'accueil de la Faculté de musique, pavillon Louis-Jacques-Casault, local 3312, pendant les heures normales de bureau. Les billets seront également en vente le soir du spectacle au guichet de la salle.
Les élèves de la classe de trompette de Trent Sanheim, de la Faculté de musique, vous invitent à un concert qu'ils présenteront le lundi 11 mars, à 20 h, à la salle Henri-Gagnon du pavillon Louis-Jacques-Casault. Ils y interpréteront Sonatina d'Alexandre von Kreisler, Aria et Scherzo d'Alexandre Aroutiounian, Suite gaélique de Bernard Fitzgerald, Fantaisie brillante sur les vêpres siciliennes de Verdi, le Concerto pour trompette de Henri Tomasi et enfin, la Fantasia pour sept trompettes d'Eric Ewazen. Les interprètes sont: Geneviève Côté, Kéven Bédard, Marie Cusson, Jean-Charles Girard, Guillaume Damour, Dominique Fontaine et Trent Sanheim, trompettistes. Ils seront accompagnés au piano par Nancy Pelletier, Éric Paci et Hélène Desjardins. L'entrée est libre.
Vous êtes conviés à un moment musical magique, par les élèves de la classe de piano de Francis Dubé, le jeudi 14 mars, à 12 h, à la salle Henri-Gagnon du pavillon Louis-Jacques-Casault. Au programme, des études de Liszt, Rachmaninov, Debussy, Scriabine et Chopin. L'entrée est libre.
Chantal Masson-Bourque, altiste, et Mariko Sato, pianiste, donnent des récitals en duo alto-piano depuis 1975. En 1997, elles enregistraient un premier disque compact avec, entre autres, des oeuvres de Jeanne Landry et Denis Gougeon. En mars 1998, elles présentaient à Moscou un récital d'oeuvres russes et québécoises. Un second disque est en préparation. Les deux artistes vous proposent un répertoire de musique québécoise le jeudi 14 mars, à 20 h, à la salle Henri-Gagnon du pavillon Louis-Jacques-Casault. Au programme: Sonate pour alto et piano d'André Prévost et Altitude maximale d'Alain Gagnon (uvre dédiée à Chantal Masson-Bourque en mémoire de son fils Sébastien). Les deux interprètes ont invité Michiko Nagashima, violoniste et Huguette Morin, violoncelliste, à se joindre à elles pour l'interprétation du Quatuor pour cordes et piano de Jeanne Landry. Chantal Masson-Bourque interprétera également la Partita pour alto seul BWV 1013, de Johann Sebastian Bach. L'entrée est libre.
Sous l'égide du Club polonais de l'Université
Laval (KRUL), les membres de la troupe Podhale, de Montréal,
viendront animer une soirée dansante à la polonaise,
le mardi 19 mars prochain. Venez admirer les chorégraphies
d'authentiques danseurs polonais et vous joindre à eux
pour apprendre la cracovienne, la mazurka, etc. C'est un rendez-vous
à 19 h 30, à la salle 1161 du Pavillon Louis-Jacques-Casault
(des affiches vous guideront à partir de l'entrée
principale). Admission générale: 10 $; membres du
KPUL 5 $ Renseignements: 656-2556 ou paul.cadrin@mus.ulaval.ca
Deux étudiants du programme d'histoire de l'art, Richard Beaudry et Sylvain Lizotte, présentent la première rétrospective du travail de l'architecte et urbaniste Édouard Fiset, figure marquante mais encore méconnue de l'architecture moderne de Québec. Les visiteurs pourront découvrir l'uvre historique d'Édouard Fiset, à travers des documents inédits, plans, esquisses, projets, maquettes et photographies. Décédé en 1994, Édouard Fiset a pratiqué l'architecture de 1946 jusqu'au début des années 1990. Partisan du modernisme, il a contribué à modifier le visage de la ville de Québec. On lui doit, entre autres, la conception de l'aménagement du campus de l'Université Laval et l'architecture de plusieurs de ses édifices tels les pavillons Charles-De Koninck, Biermans-Moraud et Ernest-Lemieux. Il fut également l'architecte en chef d'Expo 67 et on retrouve même certaines de ses réalisations en Europe et au Moyen-Orient. L'exposition se tient à la Salle d'exposition du pavillon Alphonse-Desjardins jusqu'au 23 mars inclusivement. Les heures d'ouverture sont de 8 h à 17 h du lundi au mercredi; les jeudis et vendredis la salle ouvre également en soirée, de 19 h à 22 h. Le samedi et le dimanche, les heures d'ouverture sont de 10 h à 16 h.
Les amateurs d'art peuvent découvrir, jusqu'au 24 mars,
une vingtaine d'oeuvres abstraites de Pierrette Richer et Lise
Vézina Beltrami, deux étudiantes de l'École
des arts visuel, au Café loft, 291, Saint-Vallier Est,
Québec. Intitulée Amalgame, cette exposition
présente des oeuvres qui, bien qu'hétérogènes,
ont comme moteur commun une gestuelle spontanée. Les artistes
proposent un univers dynamique de couleur et de formes. En 1983,
Pierrette Richer obtient un baccalauréat en enseignement
préscolaire et primaire. C'est dans le cadre de son travail
qu'elle s'initie au langage artistique et à la créativité.
Séduite par la vivacité des tons purs et sensible
à la transparence, l'artiste explore librement le jeu des
taches et des formes en combinant différents médiums.
Quant à Lise Vézina Beltrami, la représentation
de la figure humaine a toujours été présente
dans sa peinture. Cette perception est mouvante et sert de prétexte
à une simplification du dessin, qui crée des lieux
et des atmosphères où le regard peut se promener.
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