17 janvier 2002 |
Les représentants de l'Université Laval ont en
effet devancé ceux de l'Université de Sherbrooke
et de l'Université de Montréal au classement final
de cette compétition, placée sous le signe de la
franche camaraderie et des exploits sportifs et parasportifs,
qui a attiré dans la Cité universitaire près
de 1 500 participants et participantes provenant de neuf facultés
de médecine de l'Ontario (Toronto, Ottawa, Queen's, McMaster
et Western) et du Québec (McGill, Montréal, Sherbrooke
et Laval).
Plus d'une vingtaine d'activités et de tournois étaient
inscrits au programme. Si, comme on l'affirme, c'est dans l'épreuve
que l'on reconnaît le courage d'un être humain, les
Jeux en comportaient plusieurs qui ont su mettre en évidence
les multiples talents et la détermination des futurs professionnels
de nos réseaux de santé. Ces derniers ont ainsi
fait étalage de leurs capacités autant dans des
activités "traditionnelles" comme le basketball,
le volleyball, le handball, le soccer, le hockey, l'athlétisme,
le tennis, le badminton, le ping-pong, le squash et la natation
que dans des disciplines d'invention plus récente comme
l'escalade, le hockey-cosom, le flag-football, l'ultimate
frisbee, le ballon-quilles, le kayakette, le wallyball,
le babyfoot et les bombes (water bombs).
Soulignons que les Jeux de médecine ont également
été le théâtre d'un championnat de
tir-au-poignet, d'un concours de murales dans le tunnel menant
au PEPS, d'une simulation boursière et d'un tournoi d'improvisation
dont la grande finale a été présentée
au Palladium de Sainte-Foy, sous l'habile direction du comédien
Luc Senay.
"L'atmosphère dans laquelle ont baigné les
Jeux a été formidable et toutes les activités
se sont très bien déroulées, en particulier
la finale d'impro, qui a clôturé de façon
magistrale trois journées de rencontres fort intenses",
a fait savoir Guillaume Drolet, étudiant à la Faculté
de médecine de l'Université Laval et président
de l'édition 2002 des Jeux de médecine.
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