24 mai 2001 |
À quoi peut-on s'attendre d'une institution d'enseignement
supérieur de l'envergure de l'Université Laval ?
Spontanément, on pensera à la grande compétence
de ses professeurs, à la diversité de ses programmes,
à ses secteurs de recherche en constante évolution,
etc. Et ce ne sont que quelques exemples de ce que l'Université
Laval offre à celui ou celle qui envisage d'y faire ses
études.
Outre ces caractéristiques essentielles, l'Université
Laval innove et positionne ses programmes dans une perspective
internationale moderne. "Nous avons la responsabilité,
voire l'obligation, de donner à nos étudiants la
possibilité de se mouvoir avec aisance dans le monde",
soulignait avec conviction le recteur François Tavenas,
lors de la présentation des lauréats des bourses
de mobilité étudiante Richard-Drouin, le 17 mai
dernier, à la Salle du Conseil de la Faculté de
droit. "Un diplômé universitaire doit être
en mesure d'évoluer sur la scène mondiale. Nous
devons mettre tout en uvre afin de pourvoir à cette nécessité.
Le Fonds de mobilité étudiante a été
créé avec cet objectif en tête et je remercie
Richard Drouin de l'appui inestimable qu'il a toujours accordé
à l'Université Laval", a-t-il poursuivi.
Une douzaine d'étudiantes et d'étudiants boursiers
étaient présents à l'événement
durant lequel Richard Drouin, anciennement président de
la Campagne Défi et actuel président du Conseil
d'administration de l'Université Laval, a souligné
lui aussi à quel point l'internationalisation était
essentielle au développement. "C'est la seule façon
de prendre sa place. L'Université Laval doit permettre
à ses étudiants d'aller apprendre mais également
d'aller donner ailleurs."
Avec plus de 350 ententes conclues avec des établissements
d'enseignement à travers le monde, de la Thaïlande
au Chili, en passant par la Tunisie ou la République tchèque,
l'Université Laval entend augmenter à chaque année
le nombre de ses étudiants et étudiantes qui partent
compléter leur formation à l'extérieur. Le
processus de l'internationalisation, établi comme principe
en 1996 et véritablement amorcé il y a un an avec
la création du Fonds de mobilité étudiante,
est décidément sur la bonne voie.
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