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8 février 2001  |
Portes ouvertes en sciences de l'agriculture et de
l'alimentation
La Faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation
tiendra une opération "Portes ouvertes" le samedi
10 février, de 10 h 30 à 15 h 30, au pavillon Paul-Comtois,
sur la Cité universitaire. Cette journée permettra
aux visiteurs de rencontrer le personnel de direction et les membres
du corps professoral de la Faculté, ainsi que de visiter
de nombreux laboratoires de recherche affichant des installations
à la fine pointe de la technologie.
La journée "Portes ouvertes" de la FSAA s'adresse
principalement aux étudiants des collèges mais tous
les publics sont les bienvenus. Elle a pour but de faire connaître
les programmes réguliers d'études en agronomie,
en économie et gestion agroalimentaires, en génie
agroenvironnemental, en génie alimentaire, en nutrition,
en sciences de la consommation et en sciences et technologie des
aliments. La FSAA offre aussi des programmes de formation à
distance (certificats en production laitière et bovine,
horticulture et gestion d'espaces verts, sciences et qualité
des aliments).
Le taux de placement des finissants dans la majorité des domaines de formation offerts atteint presque 100 %
La journée portera également sur les carrières dans ces domaines dont l'expertise est présentement très recherchée par l'industrie. Les participants recevront une multitude d'informations sur les bourses offertes, le profil international de la formation et les échanges internationaux, les stages en milieu de travail, l'intégration des nouvelles technologies de l'information dans l'enseignement. Trois bourses de 150 $ chacune, applicables à une éventuelle inscription, seront tirées au sort parmi les ceux et celles qui auront formulé une demande d'admission sur place, dans l'un ou l'autre des programmes de la Faculté. Le taux de placement des finissants et des finissantes dans la majorité des domaines de formation offerts à la Faculté avoisine le 100 %. En économie et gestion agroalimentaires, le nombre actuel de diplômés ne suffit pas à combler les demandes d'effectifs).
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