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16 novembre 2000 ![]() |
Bonne nouvelle pour les unités qui voulaient profiter
pleinement du programme Études-travail en engageant des
étudiants ou des étudiantes au cours de la présente
année universitaire. Le programme Études-travail,
géré par le Service de placement en collaboration
avec le Service des bourses et de l'aide financière, dispose
aujourd'hui de fonds qui lui permettront d'accorder des subventions
à plus d'une cinquantaine de projets en provenance des
unités d'enseignement et de recherche, des professeurs
ou des services de l'Université, pour des emplois débutant
en janvier 2001.
"En raison, entre autres, d'annulations de propositions qui
nous avaient été soumises et de prestations de travail
qui ont nécessité moins d'heures que prévu,
nous pouvons de nouveau recevoir, à compter de maintenant,
des propositions pour la création d'emplois sur le campus",
explique Marthe Lefebvre, responsable de ce programme au Service
de placement de l'Université Laval.
Nouvelles demandes seulement
On sait que le programme Études-travail de l'Université
a connu un tel engouement au printemps de l'an 2000 que ses fonds
ont fondu comme neige au soleil. Au 10 août, par exemple,
quelque 675 000 $ avaient déjà été
dépensés ou engagés à l'intérieur
d'un budget annuel de 760 000 $, lequel est alimenté à
part égales par l'Université Laval et le ministère
de l'Éducation du Québec. L'élan de la rentrée
universitaire ne devait pas tarder, par la suite, à assécher
cette précieuse source de subventions aux employeurs de
la Cité universitaire.
"Comme nous voulons que les étudiants et les étudiantes
des trois cycles et de toutes les facultés soient en mesure
de bénéficier du programme, par souci d'équité,
nous n'accepterons pas les reconductions mais bien les nouvelles
demandes, celles-ci devant faire ensuite l'objet d'un processus
d'affichage", de souligner Marthe Lefebvre.
Les règles habituelles
Rappelons par ailleurs que, selon les procédures usuelles
du programme Études-travail, les éventuels employeurs
de l'Université peuvent soumettre leurs propositions en
tout temps (et sans aucune date limite) pour des blocs de 80 à
250 heures, renouvelables jusqu'à un maximum de 750 heures.
Le programme Études-travail leur rembourse 5 $ sur le taux
horaire de 8,25 $ versé à l'étudiant ou à
l'étudiante. Chaque emploi créé peut de la
sorte se voir accorder une subvention de 3 750 $ par année.
Pour être admissibles, les candidates et les candidats inscrits
à temps complet aux 1er, 2e et 3e cycles doivent, quant
à eux, s'auto-inscrire au Service de placement. Leur candidature
sera ensuite évaluée en fonction de certains critères,
dont les principaux porteront sur leurs compétences et
sur leur situation financière. Le Service de placement
soumettra ultérieurement aux unités - responsables
du choix final - un maximum de trois candidats ou candidates
pour chacun des postes ayant fait l'objet d'un affichage.
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