15 octobre 1998 |
Marie-Christine Hudon et Nicolas Gauthier sont les grands gagnants du cinquième gala annuel d'Entrepreneuriat Laval, qui se tenait le jeudi 8 octobre en soirée, au Cercle du pavillon Alphonse-Desjardins.
Les deux étudiants inscrits au baccalauréat en agronomie, à la Faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation, ont remporté le 1er prix du concours "De l'idée au projet", doté d'une bourse de 7 500 $ offerte par Développement économique Canada, pour leur projet Le Rieur Sanglier, une ferme d'élevage de sangliers à vocation agrotouristique.
La soirée de gala "Lauréats et partenaires" a couronné quatre autres gagnants dans le cadre du concours "De l'idée au projet" et un parmi les projets soumis au "Défi technologique". Au total, 16 projets avaient été présentés cette année aux cinq jurys sectoriels du concours.
Le deuxième prix du concours "De l'idée au projet ", 5 000 $ en services-conseils de Samson Bélair / Deloitte & Touche, a été attribué à Denis Boucher et François Whittom, de Whittom & Boucher, une firme de consultant et de professionnels en promotion de la santé. Le troisième prix, une bourse de 4 000 $ de Réseau Capital, est allé, quant à lui, à Guylaine St-Jean, Fabiola Masri et Serge Larouche, promoteurs de Trémollières aliments fonctionnels, qui fabrique des aliments à texture modifiée pour le secteur de la santé et divers établissements.
Le projet Communication historique Mémoria, une entreprise de consultants et de chercheurs en communication historique, a valu à Mélanie Lanouette, Patrick Plante, Grégoire Gagné et Lisa Tremblay-Goodyer le quatrième prix, 2 000 $ en bourse et en services-conseils de Grondin, Poudrier, Bernier, société d'avocats. Le Vice-rectorat aux affaires académiques et étudiantes de l'Université Laval a remis, pour sa part, une bourse de 2 000 $ Marie-Josée Leblanc, promotrice de Mère et Merveille, spécialisée dans la confection et la commercialisation de vêtements de maternité.
C'est finalement Michel Simard qui a mérité la bourse de 6 000 $ rattachée au "Défi technologique" parrainé par le ministère de l'Industrie, du Commerce, de la Science et de la Technologie. Cet étudiant du baccalauréat en génie rural recevra également du MICST un appui au démarrage pour son entreprise Sanilogik Technologies, qui conçoit et fabrique des logiciels d'entretien sanitaire pour l'industrie agroalimentaire.