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13 février 1997 ![]() |
"Nous ne sommes pas autosuffisants. Comme le Conseil supérieur de l'éducation, il y a plusieurs années, nous souhaitons, nous aussi, qu'une meilleure collaboration s'établisse entre l'ordre collégial et l'ordre universiaire. Nous sommes donc ouverts à toutes discussions qui apporteraient des améliorations dans ce sens."
C'est en lançant cette incitation au rapprochement que le recteur Michel Gervais a amorcé une rencontre portant sur les résultats de la récente Relance des diplômées et diplômées de l'Université Laval de 1993, qu'il avait convoquée pour le vendredi 7 février.
Partenaires externes et internes
Le rendez-vous du recteur et de la vice-rectrice aux études, Louise
Milot, a attiré plus de 70 personnes, en matinée, à
la salle multimédia du pavillon Alphonse-Desjardins. Il s'adressait
en premier lieu aux directrices et aux directeurs généraux
des établissements d'enseignement collégial de la région
- on en dénombre une quinzaine - et à leurs collaborateurs
dans les dossiers des études et de l'orientation.
Plusieurs membres de l'Université avaient également répondu à l'invitation, notamment, la plupart des doyennes et doyens, des vice-doyennes et vice-doyens aux études, des directrice et directeurs d'écoles non rattachées, la présidente de la Commision des études, le directeur général du premier cycle, le directeur général de la formation continue, le directeur du Baccalauréat multidisciplinaire et des études libres, des représentants des services de Placement et d'Orientation et counseling.
Portrait d'ensemble
La majeure partie de la rencontre a été consacrée à
la présentation des résultats de l'opération Relance
1996 menée par le Groupe de recherches institutionnelles sur les
effectifs étudiants de l'Université Laval. Pendant plus d'une
heure, Madeleine Perron, directrice du GRIEÉ, a brossé succinctement
un tableau fort encourageant de la situation des diplômés de
Laval, statistiques, graphiques et tableaux à l'appui.
Comme le Fil du 5 décembre 1996 en faisait état, la Relance 1996 révèle que, trois ans après avoir quitté l'Université Laval pour le marché du travail, 88,5 % des diplômés de 1993 au 1er cycle et 90,1 % de ceux sortant des 2e et 3e cycles occupaient un emploi.