31 ao�t 1995 |
CONSEIL D'ADMINISTRATION
Technologies de l'information
POLITIQUE DE NORMALISATION ADOPT�E
Lors de sa s�ance tenue le 23 ao�t, le Conseil d'administration a adopt� une politique de normalisation des technologies de l'information dont la pr�sentation a donn� lieu � de fort int�ressants �changes qui ont mis en �vidence le bien fond� d'une telle mesure tout en faisant ressortir l'attention constante qu'il convenait de porter � l'application de ces mesures et � leur �ventuel ajustement, en fonction du contexte d'�volution et de d�veloppement permanents de ces technologies et des produits qui en d�coulent.
Cette politique ( voir article en page 5 ) �tablit quatre cat�gories de normes avec leurs r�gles d'application :
- architecture et standards de l'industrie, qui concerne les ressources d'infrastructure pour lesquelles une normalisation est essentielle afin de garantir l'interconnectivit� et une int�gration physique �efficace, robuste et s�curitaire sur un horizon de plusieurs ann�es�. Cette cat�gorie regroupe les �l�ments constituant les assises sur lesquelles est construite toute l'infrastructure technologique. Il est imp�ratif d'en respecter les dispositions.
- produits retenus pour des motifs �conomiques. Il s'agit l� des ressources g�n�rales utilis�es par un grand nombre d'usagers dans leurs travaux quotidiens dont la normalisation est indispensable pour des raisons �conomiques �videntes et qui affectent, directement, la productivit� du travail, la mobilit� du personnel et la coh�rence institutionnelle en cette mati�re. - syst�mes d'information de gestion, qui touche, plus particuli�rement, en fonction des trois �l�ments mentionn�s ci- dessus, les unit�s et les personnes charg�es du d�veloppement des syst�mes d'information de gestion dans le cadre de l'assistance institutionnelle aux utilisateurs : information, formation, assistance, conseil, etc.
- produits �support�s�. Cette cat�gorie s'applique aux produits logiciels et mat�riels que doivent utiliser les personnes qui pr�voient compter sur l'assistance institutionnelle (information, formation, assistance, conseil, etc.). Les membres de la Communaut� universitaire utilisant des produits hors liste devront �tre autonomes puisqu'ils n'obtiendront pas d'assistance ou de support de la part des services centraux. La mise en application de cette politique de normalisation rel�ve du Comit� ex�cutif qui devra adopter p�riodiquement la liste des produits et moyens normalis�s et en assurer la diffusion aupr�s de la communaut� universitaire.
Cette liste, ainsi que l'ensemble des normes de la politique seront d�pos�s au Conseil d'administration.
Dans un autre domaine, le Conseil a adopt� le plan directeur de la Facult� de philosophie (voir article en page 5 ). Le doyen est venu en faire la pr�sentation en mettant l'accent sur la volont� de la Facult� et les moyens qu'elle entend mettre de l'avant pour atteindre � un �quilibre souhaitable entre les secteurs historiques et th�matiques de la philosophie:
instauration de nouveaux cours, notamment, dans le cadre de la philosophie contemporaine. De telles normes vont tendre � affirmer la marque distinctive de cette facult�.
AUTRES D�CISIONS
Les autres mesures adopt�es par le Conseil portent sur les points suivants :
- r�glement sur les frais d'admission et d'inscription : assurance maladie pour les �trangers, en fonction des exigences du minist�re de l'�ducation en ce domaine;
- budget d'investissement 1994-1995 de l'�difice de la Fabrique;
- affectation de certains fonds de dotations et souscriptions d'un montant de l'ordre de 1,6 million de dollars;
- �mission d'obligations;
- modifications au fonds d'investissement �tudiants en sciences et g�nie, le premier du genre � l'Universit�, afin d'en simplifier l'administration;
- reconduction temporaire d'ententes entre l'Universit� et les villes de Sainte-Foy et Sillery quant � la fourniture de services d'aqueduc, d'�go�ts et de s�curit� publique;
- renouvellement, pour une dur�e de trois mois, du protocole d'entente existant entre l'Universit� et l'Association du personnel administratif et professionnel de l'Universit� ( APAPUL ).
De plus, le recteur a fait le point, au b�n�fice des membres du Conseil d'administration, sur l'�tat de la consultation men�e au sein de l'Universit� � propos des recommandations du �Rapport B�langer�.
MICHEL CHAUVEAU