
L’actuelle pandémie semble l’occasion idéale pour les membres de CA de réévaluer certaines croyances et façons de faire dans la gouvernance des entreprises. Par exemple, il n’est plus de bon aloi, pendant cette crise sanitaire et économique, de verser des dividendes aux actionnaires ou de ne pas poser les questions pertinentes à la direction de l’entreprise, notamment sur sa gestion des risques.
Après s’être penché sur ces deux exemples dans la première partie de son billet, Ivan Tchotourian, professeur de droit et blogueur pour Contact, s’intéresse maintenant dans Le défi des CA à l'ère de la COVID-19 (2e partie) à deux autres pratiques à repenser en ces temps de pandémie. Est-il encore éthique et profitable pour une entreprise de racheter ses propres actions? Et est-il encore de mise d’accorder une haute rémunération aux membres de sa haute direction?