Arts
Exposer ses blessures vives
Une réflexion sur les blessures personnelles qui nous rendent uniques et nous rassemblent en tant qu’êtres humains

«Nous portons tous des cicatrices associées à nos blessures personnelles qui nous rendent uniques et nous rassemblent en tant qu’êtres humains.» C’est à partir de cette réflexion que l’artiste montréalaise et algonquine, Nadia Myre, a amorcé son projet.
Lors d’ateliers itinérants, cette diplômée du Emily Carr University of Art and Design de Vancouver et de l’Université Concordia a proposé à des gens du grand public de recréer, sur une toile, leurs cicatrices physiques ou émotives, tout en les enjoignant à produire un court texte qui racontait leur histoire.
Les 1400 œuvres issues de ces réflexions sont présentées pour la première fois au public.
Jusqu’au 21 décembre, à la Galerie des arts visuels (295, boul. Charest Est).
Lors d’ateliers itinérants, cette diplômée du Emily Carr University of Art and Design de Vancouver et de l’Université Concordia a proposé à des gens du grand public de recréer, sur une toile, leurs cicatrices physiques ou émotives, tout en les enjoignant à produire un court texte qui racontait leur histoire.
Les 1400 œuvres issues de ces réflexions sont présentées pour la première fois au public.
Jusqu’au 21 décembre, à la Galerie des arts visuels (295, boul. Charest Est).