Dans les médias
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François Des Rosiers, Réginald Auger et Martine Roberge sur les nouveaux centres de distribution en banlieue, le déménagement des artefacts de Parcs Canada et la finalité des rites funéraires

Sur les nouveaux centres de distribution en banlieue
Les grandes bannières commerciales ont tendance à fermer leurs magasins, souvent situés en banlieue. Par contre, des centres de distribution ouvrent pour répondre aux commandes en ligne. C'est le constat que fait François Des Rosiers. «Le commerce de détail est en redéfinition. Les gens achètent beaucoup en ligne et vont moins dans les magasins. Les grands détaillants s'adaptent à cette situation et ça prend de l'ampleur.»
François Des Rosiers, Département de finance, assurance et immobilier
Le Journal de Québec, 19 janvier
Sur le déménagement des artefacts de Parcs Canada
Lors de sa récente visite à Québec, le premier ministre Justin Trudeau a indiqué sa préférence pour le déménagement de millions d'artefacts découverts un peu partout au Canada vers des installations ultramodernes à construire à Gatineau. Selon Réginald Auger, les objets archéologiques doivent être proches des citoyens comme des chercheurs. «On va envoyer les collections dans un entrepôt. Des techniciens vont mettre des numéros dessus et c'est à peu près tout. Personne ne va faire de recherche. Une collection qui n'est pas analysée, c'est une collection qui est près de la poubelle.»
Réginald Auger, Département des sciences historiques
Le Soleil, 21 janvier
Sur la finalité des rites funéraires
En 2016, 400 personnes sont décédées au Québec sans que leur corps soit réclamé. C'est deux fois plus qu'il y a 10 ans. La plupart de ces personnes sont inhumées dans une fosse commune, sans cérémonie et sans la moindre plaque. «De tout temps, rappelle Martine Roberge, les rites funéraires ont eu une double finalité: accompagner les survivants dans leur traversée du deuil et assurer le devenir corporel et spirituel du défunt. Assigner une dernière demeure à quelqu'un, c'est l'inscrire dans sa communauté au-delà de la mort.»
Martine Roberge, Département des sciences historiques
L'actualité, février 2018