Vie universitaire
Si Galilée m'était conté
La chargée de cours en théologie et sciences religieuses Mireille D’Astous examine les rapports entre la science et la religion chez le célèbre astronome italien

Le grand public a-t-il une vision réductrice d’un Galilée injustement condamné par une Église toute puissante et obscurantiste pour sa vision héliocentrique de l’Univers? Selon les spécialistes actuels de l’astronome italien, il semblerait que oui.
Pour mieux comprendre la complexité de la situation historique, il faut assister à la conférence que donnera jeudi prochain la doctorante en sociologie Mireille D’Astous. Dans son exposé intitulé «Galilée, figure de la modernité?», elle analysera une lettre du savant destinée à Christine de Lorraine qui permet de comprendre que les rapports entre science et religion ne relevaient pas seulement de l’opposition et du conflit.
Dans cette lettre, en effet, Galilée développe des arguments qui favorisent l’harmonie entre les expériences scientifiques et l’interprétation des Écritures saintes.
Jeudi 31 janvier de 11h30 à 12h30, au local 5325 du pavillon Charles-De Koninck.
Pour mieux comprendre la complexité de la situation historique, il faut assister à la conférence que donnera jeudi prochain la doctorante en sociologie Mireille D’Astous. Dans son exposé intitulé «Galilée, figure de la modernité?», elle analysera une lettre du savant destinée à Christine de Lorraine qui permet de comprendre que les rapports entre science et religion ne relevaient pas seulement de l’opposition et du conflit.
Dans cette lettre, en effet, Galilée développe des arguments qui favorisent l’harmonie entre les expériences scientifiques et l’interprétation des Écritures saintes.
Jeudi 31 janvier de 11h30 à 12h30, au local 5325 du pavillon Charles-De Koninck.